Et cent fois tu m'as eu.
Je t'écris de si bas,
Et tu balades haut
Quelques débris de moi,
Au hasard, sur ton dos.
Qui es-tu,
Mon ange sans visage ?
Je te louange et tu
Bénis, tu virevoltes
À tout-va, tu t'amuses,
Distribues et diffuses
À ceux qui l'envisagent
Un embrun de révolte,
Puis une pincée de muses.
Poème extrait du recueil Onirismes
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